L'ultimatum.
Et oui, dans ce grand come-back des années 90 que l'on subit aujourd'hui, où l'on se souvient la larme à l'oeil de notre body moulant, notre jupe longue à fleurs, nos doc's, et que l'on ressort nos chouchous, se demandant si vraiment, vraiment, nous sommes prêtes à sacrifier l'honneur, pour la mode, sachez que des pratiques so 90's aussi reviennent... Le fuck buddy (j'en ai déjà un peu parlé), -ou comment nous ne sommes pas des hippies, ni des requins 80, mais des amis qui consommons le sexe ensemble-, les quatre vérités, et bien sûr, le fameux ultimatum.
Pourquoi on ne l'utilisait plus, déjà?
Sans doute parce qu'avec la mondialisation et le néo-paupérisme inquiétant qui nous menace, les mentalités avaient évoluées, on pensait désormais plus à fermer le robinet quand on se lave les dents, donner de la thune à l'Afrique, bouffer bio, et mettre une oreillette à son portable que taper un vieux coup de pression à un homme. Ça faisait trop superficiel, dernièrement.
Or les années 2000 passent, 2010 c'est une nouvelle génération, pleines de ces bons réflexes, qui résiste comme elle peut. Résistons: critiquons les amis du petit ami, détestons le foot, écoutons Beyoncé sans complexe, mettons des grands anneaux dans nos oreilles et (re)commençons par dire les quatre vérités. C'est le préliminaire de l'ultimatum. Attention cependant à ne pas être trop furie; il faut se lâcher lorsque c'est nécessaire.
Mais surtout ne sautons pas sans parachute: l'ultimatum requiert de strictes conditions préalables. Déjà, il ne doit pas être hors-sujet, du genre prêt-à-être-posé, tandis que le mec pense à voix haute "j'en ai rien à foutre". Pour éviter le hors-sujet, c'est justement de parachutes que l'on a besoin. Ainsi, pour se sentir capable et en son droit de poser un vrai ultimatum, il faut:
-Avoir décroché un pur job, ou gagner au loto. Si l'ultimatum foire, l'on peut toujours s'acheter des pures pompes pour se sentir bonne, ou encore partir en Asie.
-Avoir d'autres prétendants alléchants. Si l'ultimatum foire, l'on peut toujours s'envoyer en l'air avec un autre, et à défaut de prendre vraiment son pied, jouir de la vengeance.
-Avoir envie d'un vrai changement. Et, comme au poker, si l'ultimatum foire, l'on aura apprécié le jeu, et le goût du risque. Tapis !
En gros, il faut prévenir ses arrières: une pauvre moche et trop premier degré ne pose pas d'ultimatum, elle lance un s.o.s., tandis qu'une fille sûre d'elle qui a la vie qui swing pose un bel ultimatum crédible: avec ou sans moi, décide-toi coco.
Il est bon aussi de fixer une limite. Plus de 24h, c'est trop pour un homme, il aura le temps de réfléchir, et le temps de flipper, surtout. Écourtez au maximum. Pourquoi pas dix minutes? Vous êtes une fille pressée, on vous attend ailleurs, c'est bien.
Quant aux raisons fondamentales pour poser un ultimatum, je vous les laisse. Sachez que l'alcool n'est pas une bonne raison pour poser un ultimatum à un homme. L'homme n'est pas un jouet, et il est fragile quand même.
Et quant à la réponse apportée à l'ultimatum en question, son jugement est très variable. Mais déjà, s'il y a réponse, c'est pas si mal: cela signifie soit qu'il tient à vous (sauf si la réponse est : "Je ne répond pas à ton coup de pression débile."), soit qu'il est à la mode. Dans les deux cas, c'est quand même positif. Enfin, certaines valorisent l'attitude, d'autres la réponse. Le mieux, ce sont les deux, évidemment: "Reste, je t'aime!" et un baiser tango.
Vous pouvez aussi vous contentez d'un "T'es chiante, mais je t'aime bien." C'est plutôt moyen, comme réponse: il noie le poisson, un peu. Vous faites donc peu de cas à votre propre ultimatum, si vous vous en contentez.
Sauf si vous partez en Asie, avez un nouveau job, d'autres prétendants, et bavez sur vos nouvelles pompes.
Et oui, dans ce grand come-back des années 90 que l'on subit aujourd'hui, où l'on se souvient la larme à l'oeil de notre body moulant, notre jupe longue à fleurs, nos doc's, et que l'on ressort nos chouchous, se demandant si vraiment, vraiment, nous sommes prêtes à sacrifier l'honneur, pour la mode, sachez que des pratiques so 90's aussi reviennent... Le fuck buddy (j'en ai déjà un peu parlé), -ou comment nous ne sommes pas des hippies, ni des requins 80, mais des amis qui consommons le sexe ensemble-, les quatre vérités, et bien sûr, le fameux ultimatum.
Pourquoi on ne l'utilisait plus, déjà?
Sans doute parce qu'avec la mondialisation et le néo-paupérisme inquiétant qui nous menace, les mentalités avaient évoluées, on pensait désormais plus à fermer le robinet quand on se lave les dents, donner de la thune à l'Afrique, bouffer bio, et mettre une oreillette à son portable que taper un vieux coup de pression à un homme. Ça faisait trop superficiel, dernièrement.
Or les années 2000 passent, 2010 c'est une nouvelle génération, pleines de ces bons réflexes, qui résiste comme elle peut. Résistons: critiquons les amis du petit ami, détestons le foot, écoutons Beyoncé sans complexe, mettons des grands anneaux dans nos oreilles et (re)commençons par dire les quatre vérités. C'est le préliminaire de l'ultimatum. Attention cependant à ne pas être trop furie; il faut se lâcher lorsque c'est nécessaire.
Mais surtout ne sautons pas sans parachute: l'ultimatum requiert de strictes conditions préalables. Déjà, il ne doit pas être hors-sujet, du genre prêt-à-être-posé, tandis que le mec pense à voix haute "j'en ai rien à foutre". Pour éviter le hors-sujet, c'est justement de parachutes que l'on a besoin. Ainsi, pour se sentir capable et en son droit de poser un vrai ultimatum, il faut:
-Avoir décroché un pur job, ou gagner au loto. Si l'ultimatum foire, l'on peut toujours s'acheter des pures pompes pour se sentir bonne, ou encore partir en Asie.
-Avoir d'autres prétendants alléchants. Si l'ultimatum foire, l'on peut toujours s'envoyer en l'air avec un autre, et à défaut de prendre vraiment son pied, jouir de la vengeance.
-Avoir envie d'un vrai changement. Et, comme au poker, si l'ultimatum foire, l'on aura apprécié le jeu, et le goût du risque. Tapis !
En gros, il faut prévenir ses arrières: une pauvre moche et trop premier degré ne pose pas d'ultimatum, elle lance un s.o.s., tandis qu'une fille sûre d'elle qui a la vie qui swing pose un bel ultimatum crédible: avec ou sans moi, décide-toi coco.
Il est bon aussi de fixer une limite. Plus de 24h, c'est trop pour un homme, il aura le temps de réfléchir, et le temps de flipper, surtout. Écourtez au maximum. Pourquoi pas dix minutes? Vous êtes une fille pressée, on vous attend ailleurs, c'est bien.
Quant aux raisons fondamentales pour poser un ultimatum, je vous les laisse. Sachez que l'alcool n'est pas une bonne raison pour poser un ultimatum à un homme. L'homme n'est pas un jouet, et il est fragile quand même.
Et quant à la réponse apportée à l'ultimatum en question, son jugement est très variable. Mais déjà, s'il y a réponse, c'est pas si mal: cela signifie soit qu'il tient à vous (sauf si la réponse est : "Je ne répond pas à ton coup de pression débile."), soit qu'il est à la mode. Dans les deux cas, c'est quand même positif. Enfin, certaines valorisent l'attitude, d'autres la réponse. Le mieux, ce sont les deux, évidemment: "Reste, je t'aime!" et un baiser tango.
Vous pouvez aussi vous contentez d'un "T'es chiante, mais je t'aime bien." C'est plutôt moyen, comme réponse: il noie le poisson, un peu. Vous faites donc peu de cas à votre propre ultimatum, si vous vous en contentez.
Sauf si vous partez en Asie, avez un nouveau job, d'autres prétendants, et bavez sur vos nouvelles pompes.
1 commentaire:
C. a dit
Je ne comprends décidemment pas pourquoi les photos de Z. P., j'ai beau chercher, je ne comprends pas !
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