Attention, scoop de ouf. J'ai aussi des scoops de ouf de la St Val', et d'avant, mais j'y reviendrai plus tard. Là, c'est direct scoop de ouf qui n'attend pas.
Vous souvenez-vous de l'année dernière, mes échecs sentimentaux, mon alcoolisme irlandais, ma coupe de guerrière moyenâgeuse ? Je vous rafraîchis la mémoire : c'est là, et là.
Mais je résume aussi :
Lasse d'une relation loin de me satisfaire avec un énergumène qui se montrait loin d'être satisfaisant, sauf charnellement parlant, ce qui est loin très loin de suffire à une masturbatrice intellectuelle sentimentale comme moi, j'avais donc entreprit un voyage gaélique avec ma fidèle acolyte, Olia, toujours opérationnelle face à ce genre de décision, bien qu'elle-même revenait d'un périple dont elle s'était à peine remise à New York.
En bref, ma géniale idée c'était d'oublier ce mec à coups de pintes de Guiness et d'irish kisses. Et de me vautrer dans les plats amoureusement cuisinés par ma sister, pendant que je régressais fortement à jouer au roi du silence, ou au chat perché, avec mes nièces dont le quotient intellectuel est supérieur à celui de toute ta famille réunie.
Ça n'a pas fonctionné. Pourtant, j'ai tout fait de ces beaux projets, pas forcément dans l'ordre, j'ai sans doute mangé et joué au chat perché avant d'embrasser des Irish guys, mais disons que j'ai respecté une hygiène de vie déplorable, ce qui était honorable vu mon incroyable projet qui était de revenir plus belle, plus forte, plus sûre, plus incisive.
Yes I can, que nenni. Je suis revenue en courant dans le même lit, du même mec, sauf que j'étais en ciré jaune avec des tiags et un noeud fluo dans les cheveux. Disons que mis à part l'amitié et la famille, les bons souvenirs et les burgers, ce voyage en Irlande n'était pas tout à fait nécessaire, enfin je veux dire esthétiquement parlant.
Mais en Irlande, on s'en tape de l'esthétique, et de Descartes, et du bon goût, et de tout, et c'est ça qu'est bon.
Je me suis un peu égarée en digressions... Where is the scoop ? The scoop is in the kitchen. Nan, je rigole.
Bref, le scoop incongru, l'ironie du sort, la beauté de l'existence, c'est qu'un an après, à trois jours près quand même, je retourne en Irlande. Déjà, c'est ouf. Genre la coïncidence de malade.
Et en plus, je retourne à Galway avec le mec que je voulais oublier l'année dernière.
Le scoop de ouf.
L'échec de malade aussi.
A défaut d'avoir pu le bouger définitivement de ma vie, est arrivé ce qui devait arriver : il passe par la case Irlande. C'est le test ultime, du genre ah ouais sale parasite, t'as pas voulu bouger de ma vie, hein, éh ben tu vas voir l'Irlande, et on verra si tu feras encore le malin.
Quitte, ou double. (alors qu'en fait trop pas, mais faisons genre je suis pas empêtrée dans une relation de couple mielleuse)
C'est l'occasion de trouver ENFIN une passion commune.
Moi, je kiffe tout en Irlande. Alors lui, au choix il peut craquer pour :
-les pubs trop bien
-les burgers trop bons
-Topshop (j'en trépigne d'avance)
-les ciels gris trop beaux
-la baie de Galway, trop bien
-les îles d'Aran, en vélo, trop bon
-les maisons multicolores
-l'air frais, trop bien
-les bières, trop bonnes
-Et la famille, t'as vu !
Alors voilà les gars. ON-SE-CASSE. Vacances.
On reviendra fat et mal lookés. J'espère. Ca voudra dire que ça s'est plutôt bien passé...
Irlande Style bébé !
Vous souvenez-vous de l'année dernière, mes échecs sentimentaux, mon alcoolisme irlandais, ma coupe de guerrière moyenâgeuse ? Je vous rafraîchis la mémoire : c'est là, et là.
Mais je résume aussi :
Lasse d'une relation loin de me satisfaire avec un énergumène qui se montrait loin d'être satisfaisant, sauf charnellement parlant, ce qui est loin très loin de suffire à une masturbatrice intellectuelle sentimentale comme moi, j'avais donc entreprit un voyage gaélique avec ma fidèle acolyte, Olia, toujours opérationnelle face à ce genre de décision, bien qu'elle-même revenait d'un périple dont elle s'était à peine remise à New York.
En bref, ma géniale idée c'était d'oublier ce mec à coups de pintes de Guiness et d'irish kisses. Et de me vautrer dans les plats amoureusement cuisinés par ma sister, pendant que je régressais fortement à jouer au roi du silence, ou au chat perché, avec mes nièces dont le quotient intellectuel est supérieur à celui de toute ta famille réunie.
Ça n'a pas fonctionné. Pourtant, j'ai tout fait de ces beaux projets, pas forcément dans l'ordre, j'ai sans doute mangé et joué au chat perché avant d'embrasser des Irish guys, mais disons que j'ai respecté une hygiène de vie déplorable, ce qui était honorable vu mon incroyable projet qui était de revenir plus belle, plus forte, plus sûre, plus incisive.
Yes I can, que nenni. Je suis revenue en courant dans le même lit, du même mec, sauf que j'étais en ciré jaune avec des tiags et un noeud fluo dans les cheveux. Disons que mis à part l'amitié et la famille, les bons souvenirs et les burgers, ce voyage en Irlande n'était pas tout à fait nécessaire, enfin je veux dire esthétiquement parlant.
Mais en Irlande, on s'en tape de l'esthétique, et de Descartes, et du bon goût, et de tout, et c'est ça qu'est bon.
Je me suis un peu égarée en digressions... Where is the scoop ? The scoop is in the kitchen. Nan, je rigole.
Bref, le scoop incongru, l'ironie du sort, la beauté de l'existence, c'est qu'un an après, à trois jours près quand même, je retourne en Irlande. Déjà, c'est ouf. Genre la coïncidence de malade.
Et en plus, je retourne à Galway avec le mec que je voulais oublier l'année dernière.
Le scoop de ouf.
L'échec de malade aussi.
A défaut d'avoir pu le bouger définitivement de ma vie, est arrivé ce qui devait arriver : il passe par la case Irlande. C'est le test ultime, du genre ah ouais sale parasite, t'as pas voulu bouger de ma vie, hein, éh ben tu vas voir l'Irlande, et on verra si tu feras encore le malin.
Quitte, ou double. (alors qu'en fait trop pas, mais faisons genre je suis pas empêtrée dans une relation de couple mielleuse)
C'est l'occasion de trouver ENFIN une passion commune.
Moi, je kiffe tout en Irlande. Alors lui, au choix il peut craquer pour :
-les pubs trop bien
-les burgers trop bons
-Topshop (j'en trépigne d'avance)
-les ciels gris trop beaux
-la baie de Galway, trop bien
-les îles d'Aran, en vélo, trop bon
-les maisons multicolores
-l'air frais, trop bien
-les bières, trop bonnes
-Et la famille, t'as vu !
Alors voilà les gars. ON-SE-CASSE. Vacances.
On reviendra fat et mal lookés. J'espère. Ca voudra dire que ça s'est plutôt bien passé...
Irlande Style bébé !
4 commentaires:
Eh bien c est pas trop tot malgre le fait que ce soit pour dire que tu te casses. Bisou cocotte
"Where is the scoop ? The scoop is in the kitchen" :
U made my day !!!!!!!
i'm done !
j'ai tout lu aujourd'hui; pourtant les confidences intimes a priori c'est pas ma came. tu fais preuve d'une belle sincérité. pas parce que tu dévoiles des choses ici, mais tu sembles si lucide sur toit-même. sans en être cynique. c'est passionnant.
merci merci bien
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